Cafebabel: Entretien avec Adriano Farano
24 décembre 2006
Adriano Farano a 26 ans. Il est Italien, Napolitain mais Européen avant tout et il est aussi le directeur de la rédaction de Cafébabel le premier web magazine disponible en 7 langues[1]. Dans un entretien accordé au quotidien Libération, il raconte la naissance du premier média vraiment européen, pur produit de la génération Erasmus : http://www.liberation.fr/actualite/medias/221822.FR.php?rss=true.
Mise à jour : je suis complètement passé à côté lors de la rédaction du billet mais à lire aussi cet article sur Cafébabel : L’enfant prodige d’Erasmus s’appelle cafebabel.com
lu sur: www.etudiants-erasmus.comtechnorati tags: societé culture europe
Etudier à Budapest
22 décembre 2006
Quelles furent tes motivations pour partir étudier à l’étranger ?
Comme beaucoup, j’avais le cliché de "l'Auberge Espagnole" en tête avec tout ce que cela induit : la possibilité de rencontrer des gens issus des quatre coins du monde dans une ambiance plutôt décontractée (une année en Erasmus est rarement très intensive, je ne vous apprends rien !) et découvrir une autre culture.
Pourquoi as-tu choisis d’étudier à Budapest ?
Avant de partir, quand je répondais aux gens qui demandaient où je partais, souvent la réaction à ma réponse était « La Hongrie ??? » avec des yeux grands ouverts. J’avais déjà une justification à ça et elle est encore plus vraie : le voyage ! Budapest est le tremplin parfait pour visiter tous les pays de l’Europe de l’Est (Autriche, République Tchèque, Slovaquie, Pologne, Roumanie, Serbie, Bosnie, Croatie, Slovénie) et pourquoi pas un peu plus loin ? La vie et particulièrement les moyens de transports y sont moins chers qu’ailleurs ; équipé d’une bonne tente il est possible de partir en vadrouille tous les week-ends, ce que j’ai essayé de faire au maximum. Autre avantage : je voulais améliorer mon anglais et ici les cours sont dispensés en Anglais. Certes, il n’est pas toujours évident de se retrouver dans un pays où l'on ne parle pas du tout la langue (le Hongrois est particulièrement difficile), mais les bases finissent par venir et la plupart des commerçants ont un anglais correct. Le fait de n’être qu’avec des étudiants étrangers (250 rien que dans mon université, la B.M.E.) permet de réellement rencontrer des gens des quatre coins du monde ; bien sûr, se mélanger avec la population locale demande un peu plus d’efforts.
Comment as-tu vécu ton arrivée ?
Je suis venu avec un autre étudiant de mon université directement depuis Lille, en voiture, et via la Belgique, l’Allemagne et l’Autriche...le tout en 15 heures. Donc peu d’appréhension sur les conditions de l'arrivée, je dirais même plutôt de l’impatience d’arriver ! Evidemment, rien ne se déroule jamais comme prévu dans ce genre de situations et l’hôtel où j’avais réservé, et où je devais retrouver les autres étudiants de mon université Hongroise, avait perdu ma réservation et j’ai dû me trouver un autre hôtel ailleurs. Sinon très rapidement, après quelques bières partagées dans les pubs de Budapest le processus d’intégration était lancé !
As-tu eu du mal à trouver un logement ?
Comme je le disais précédemment, j’ai dormi les premiers jours au Martos Hostel (au Sud de Buda près du quartier Gélert), hôtel certes un peu glauque mais qui a l’avantage d’être abordable (10€ la nuit) et vous êtes sûr de toujours y trouver de la place. Une semaine après seulement, et quelques recherches sur Internet, j’emménageais avec un Allemand et un Franco-Allemand. Les prix dans le centre ville sont très acceptables pour des étrangers (entre 200 et 250€ par mois tout compris) ; mais cela reste très cher pour les Hongrois qui, dans l'ensemble, pratiquent peu la location.
As-tu réussi à facilement te faire des amis ?
Les soirées, organisées par les étudiants hongrois responsables de notre intégration, nous ont permis de très rapidement rencontrer beaucoup de monde.
Comment se passe la rentrée dans une nouvelle faculté ?
La première semaine à l’Université Technologique et Economique de Budapest consiste à remplir des documents administratifs, choisir ses matières et rencontrer ses professeurs. L’encadrement est vraiment parfait et on se laisse guider sans rencontrer aucun problème. Impressionnant de voir d’ailleurs que le système est si bien rôdé puisqu’il y a tout de même 250 nouveaux étudiants à gérer !
Qu’est-ce qui t’a changé à l’Université Technologique et Economique de Budapest ?
Ici mon rapport avec les professeurs était très différent. En France il y a vraiment une relation professeur-élève très marquée avec le respect qui est censé en découler. Ici on peut quitter le cours quand on veut, y compris pour répondre au téléphone ; le professeur s’excuse de vous annoncer que vous avez raté votre examen et est sincèrement désolé pour vous... Cela change beaucoup de cette impression d’être quelque peu infantilisé en France (tout du moins dans mon université en France), mais l’excès inverse virant au clientélisme n’est pas forcément mieux !
As-tu consulté un classement pour connaître la réputation de l’Université Technologique et Economique de Budapest ?
Non, l’échange était organisé par mon université Française.
Quel type de cours as-tu suivi ?
Etudiant ingénieur en informatique en France, j’ai ici aussi suivi des cours d’informatique avec la particularité de se retrouver à 5 par cours ! Très impressionnant au début mais efficace pour progresser quand une matière vous intéresse.
Les conditions de vie à Budapest sont-elles faciles ?
Economiquement bien sûr la vie est vraiment moins chère qu’en France, même si les différences tendent à se réduire avec l’arrivée prévue de l’Euro en Hongrie. Météorologiquement je m’attendais à un hiver rigoureux, mais je crois que cette année particulièrement chaude a changé la donne. La vague de froid arrivera sûrement en Janvier ou Février où cela risque d’être beaucoup moins drôle. J’ai aussi été étonné par le peu de précipitations, environ 5 jours de vraie pluie seulement en plus de 3 mois !
Quel plat recommandes-tu ?
La traditionnelle soupe « Goulash », ou toutes les langos, sorte de pain frit avec crème fraîche et oignons. Les habitudes alimentaires sont réellement différentes : le rayon "saucisses" des supermarchés est sans fin ; en revanche, je vous souhaite du courage pour trouver ne serait-ce qu’un steak haché !
Parle-nous un peu des Hongrois ?
Budapest n’est pas vraiment représentative du reste de la Hongrie, et les Hongrois sont vraiment très semblables aux Français, au moins dans leur apparence. Peuple réputé assez pessimiste et peu souriant, ce qui n’est pas complètement faux à Budapest...mais dans ce cas que dire de Paris ? Ce qui m’a surpris est leur politesse. Toute femme de plus de 40 ans ou toute personne âgée se verra proposer une place assise dans un tram bondé, y compris par le petit jeune chargé d’un gros sac à dos. Les Hongrois ne sont pas non plus de gros stressés prêts à courir pour attraper le métro qui commence à fermer ses portes : peu importe, un autre arrive après. Toujours dans le métro, et particulièrement avec l’hiver, le nombre de sans domicile est très, très impressionnant : au moins une dizaine par station de métro. Les soirs particulièrement froids, les bus de nuit se transforment en dortoirs ambulants où les SDF viennent passer un bout de leur nuit au chaud. Que cela ne vous fasse pas croire qu’il y a une quelconque insécurité à Budapest : je ne me suis rarement senti aussi serein qu’ici. Peu importe l’heure à laquelle je rentre chez moi, je n’ai strictement jamais senti le moindre sentiment d’agressivité à mon égard ; il en est de même pour mes amies qui ne se posent plus de question pour rentrer seules le soir.
Le truc à faire à Budapest ?
Enormément de choses à faire à Budapest ! Pour deux jours typiquement hongrois, je dirai : prendre une pâtisserie aux magasins Princess qui se trouve dans toutes les stations de métro, emprunter la ligne jaune (premier métro d’Europe à la fin du XIXème siècle) en direction des bains de Széchény où, dans une eau à 38°C, vous aurez le choix entre une partie d’échec et un massage. Rien de tel qu’une petite promenade dans l'un des espaces verts de Budapest (l’Ile Marguerite sur le Danube ou l’ascension de la colline sur laquelle se trouve la citadelle et d’où vous aurez une vue imprenable sur Budapest), avant de s’asseoir au chaud dans l'un de ses restaurants qui servent des spécialités hongroises et où l’on peut se remplir le ventre pour 6€. Direction le Szimpla ou un autre pub alternatif du même genre pour y boire un vert de Palinka, eau de vie hongroise. S'il ne fallait retenir qu’une chose à faire, bien sûr ce serait les bains, et non pas Gellert comme il est écrit dans de nombreux guides, mais Széchény au Nord-est de la ville.
Merci Frédéric ! Pour toute question, vous pouvez lui poster des commentaires et nous lui ferons suivre. Merci.
Pour tous ceux qui souhaitent en voir davantage sur Budapest, nous vous invitons à parcourir son Blog.
lu sur: www.jbyb.net
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Essay pour MBA
21 décembre 2006
Les dossiers de candidature aux MBA (Applications) demandent aux élèves plusieurs Essays. Voici un exemple de réponse à ce qui peut être demandé.
Describe an impact you have had on a team, group or organization. How has this experience been valuable to you or others, and what did you learn? (500 words)
When I enrolled in ESCP-EAP, I noted that it was the only school without an annual Alumni Ball even though it is an old tradition at French “Grandes Ecoles”. This gala is a much anticipated event bringing together students, alumni and faculty members. I started to investigate the reasons why our school was not following this tradition and found out that the student organization that previously ran the event had substantially underestimated its budget and had incurred a loss of $10,000 which ultimately resulted in the bankruptcy of the association.
I took the initiative to rebuild the organization from scratch. The first thing I did was gathering students interested in the project. Recruiting was particularly challenging since we had to cope with the insolvency burden of the former organization, a legal headache that required a lot of administrative work. The members of the former student organization, liable for the losses, were of course “unreachable”. I therefore had to find an alternative source of financing to fill in the gap. After six months of intense lobbying and thanks to the support of some powerful alumni the school board granted me with a subsidy to cover the $10,000 loss. All in all it took almost a year to liquidate the former organization before I could found a new one.
Since I had taken the lead on this restructuring, I was elected President of the new organization. This title did not give me more power, instead greater responsibilities. I was not only liable for potential losses but also for our school’s reputation. I assigned each member of the new organization a specific task and overlooked each step of the process: finding sponsors, fund raising, sending out invitations and organizing the actual event. We obtained a special authorization from the “Ministry of Culture” to host the ball at Palais Brognard, a protected historical site and were finally ready to launch the event. If setting up the event was a great challenge, we still had to make it a success. I secured the attendance of key alumni of our school and heavily promoted the ball. With the excitement of the approaching event we tripled our efforts and spent sleepless nights fine-tuning the organization and sending out more invitations. The ball was a great success gathering over 600 students and 300 alumni. It left my classmates with great memories and my student association with $5,000 in profits.
This challenge taught me to overcome setbacks thrown in my path and that in the end hard work, commitment and patience pays off. It also made me realize the need to invest in human resources. I could not have achieved my goal on my own. This success was definitely a “we”.
This experience is a good illustration of my attitude towards life in general. I try to constantly challenge myself. So far, I have always tried to move forward and broaden my skills, first by enrolling in University of Paris X for a Juris Doctor degree while attending ESCP-EAP, then by moving to New York and work for X and now by applying to Y’s MBA program.
Ce modèle recueilli par Paul a été écrit par Mickaël.
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La Commission européenne étend la mobilité des étudiants à l’Arménie
19 décembre 2006
La « fenêtre de coopération extérieure Erasmus Mundus » sera ouverte aux 16 pays membres de la politique européenne de voisinage (Algérie, Arménie, Azerbaïdjan, Belarus, Cisjordanie et bande de Gaza, Égypte, Géorgie, Israël, Jordanie, Liban, Libye, Maroc, Moldova, Syrie, Tunisie et Ukraine), ainsi qu’à la Russie, au Kazakhstan, au Kirghizstan, à l’Iran, à l’Iraq et au Yémen.
Le premier appel de propositions sera publié avant la fin de l’année 2006 et permettra d’accorder un total de 1 300 bourses, dont 110 seront consacrées à l’Iran, à l’Iraq et au Yémen.
Mme Benita Ferrero-Waldner, commissaire européenne chargée des relations extérieures et de la politique européenne de voisinage, a attiré l’attention sur le rôle qu’un tel programme pourrait jouer dans la promotion de la coopération à de nombreux niveaux. « Des bourses de ce type contribuent au développement de nos partenaires et constituent un excellent moyen d’approfondir une meilleure compréhension entre les peuples. »
« Dans un contexte de relations délicates entre l’Iran et la communauté internationale, il demeure plus que jamais important pour l’UE de continuer à encourager et à soutenir les échanges universitaires avec ce pays », a-t-elle ajouté.
La nouvelle initiative s’inspire du programme Erasmus Mundus de l’UE, qui accorde des bourses aux étudiants et universitaires de pays tiers afin qu’ils obtiennent un master en Europe. Elle soutient également la coopération entre les universités européennes et non européennes et encourage la mobilité des étudiants et universitaires de l’UE vers des universités de pays tiers.
lu sur: www.armenews.comtechnorati tags: Arménie bourse Erasmus Mundus
Le temps de voyager
16 décembre 2006
Très bientôt commencent les vacations de fin d'année. Beaucoup d'entre vous se trouvent dans un Pays étranger y profitent des vacations pour rentrer chez soi voir sa famille et ses amis. Mais il y a aussi beaucoup qui en profitent pour voyager. Bon pour ceux qui voyagent je viens de recevoir la proposition de vous parler d'un nouveau service, il s'agit de "hotelreservations.com".
Bon, moi j'aurais bien aimé pouvoir essayer directement leurs services, mais a présents j'ai pas eu le temps pour voyager. Alors je vous envite a l'essayer vous même. Il semble être un service assez réussi, qui nous donne plein de possibilités. Entre autres pouvoir réserver des vols, une voiture et un hotels. Vous pourrez organiser vous même une vacation entière, avec voyage y hôtel compris. Pour ceux qui préfèrent ils ont aussi des paquets de voyage déjà organisés. Naturellement est possible payer on-line. Ils acceptent les cartes VISA, American Express et Master Card. Je crois que ils n'acceptent pas Visa Electron.
On peut remarquer tout de suite que il s'agit d'un service centré surtout sur l' Amérique. Mais ils offrent des services aussi en Europe et naturellement en France.
Pour l'instant le site est traduit en anglais et en espagnol. J'espère que bientôt il y aura disponible d'autres langues.
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L’UE lance un programme de bourses
14 décembre 2006
L’Union européenne vient de lancer un nouveau programme de bourses intitulé "Erasmus Mundus Volet Coopération Extérieure", ouvert aux étudiants et au personnel académique de 24 pays partenaires, dont le Maroc.
Le nouveau programme de bourses couvrira la mobilité des étudiants aux niveaux de la licence, du master, du doctorat et du post-doctorat ainsi que les échanges du personnel académique aux fins de l’enseignement, de la formation et de la recherche, indique la délégation de la commission européenne à Rabat dans un communiqué.
Le programme est basé sur la constitution et la sélection de consortias mixtes, formés par les universités et autres centres d’enseignement supérieur dans l’UE et dans les pays partenaires, favorisant ainsi des liens institutionnels durables, ajoute-t-on.
L’appel à propositions, qui établit les modalités de constitution et de participation des consortias mixtes, peut être trouvé sur le site http://ec.europa.eu/comm/europeaid
Selon le communiqué, les consortias sélectionnés choisiront, à leur tour, les meilleurs candidats pour les échanges et les bourses d’études commençant entre septembre 2007 et avril 2008.
Les coordonnées des consortias sélectionnés pour les étudiants intéressés aux bourses d’études seront publiés en juin 2007 dans le site web contenant toutes les informations générales sur cette nouvelle initiative : http://eacea.ec.europa.eu/static/en/mundus/extcoop/call/index.htm.
lu sur: www.tanmia.ma
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Master Erasmus-Mundus : Europhilosophie franco-allemande
12 décembre 2006
Des bourses sont offertes pour ce programme mené dans des universités européennes.
Le Master Erasmus-Mundus « Philosophies allemande et française dans l’espace européen » (EuroPhilosophie) offre aux étudiants du monde entier un parcours de formation de deux ans de haut niveau spécialisé dans les domaines de la philosophie allemande et de la philosophie française et de leur interaction au sein de l’espace intellectuel et culturel européen.
Pour l’année universitaire 2007-2008, ce programme offre 13 bourses à des étudiants de l’Union européenne, 13 bourses à des étudiants hors Union européenne, ainsi que 3 bourses à des universitaires citoyens de pays hors Union européenne.
Étudiants
Les étudiants citoyens de l’Union européenne ou non citoyens de l’Union européenne, candidats au master EuroPhilosophie, devront disposer d’une formation d’un niveau équivalent à trois années d’études au moins après le diplôme de fin d’études secondaires (équivalent à 180 ECTS), ou d’un diplôme correspondant à la licence (Bachelor) du système LMD. Ils devront également avoir suivi un cursus universitaire en philosophie et histoire de la philosophie.
Ils devront avoir une maîtrise de l’allemand et/ou du français parlé et écrit, et s’engager à suivre la formation linguistique intensive offerte par le master EuroPhilosophie dans la langue qu’ils ne maîtrisent pas, au cas où ils ne maîtriseraient que l’une des deux langues.
Ils s’engageront à suivre les deux années du cursus européen.
Les candidatures des étudiants non-européens seront adressées par courriel et par voie postale avant le 15 janvier 2007. Chaque étudiant des pays non européens sélectionné et admis à suivre la formation recevra une bourse de 21 000 euros par an.
Les étudiants de l’Union européenne, intéressés par une bourse Erasmus Mundus, adresseront leur candidature avant le 15 mai 2007.
Les étudiants s’inscriront auprès de l’université coordinatrice, l’Université de Toulouse–Le Mirail en France, à laquelle ils verseront les droits de 2 400 euros par semestre pour les étudiants des pays tiers, 225 euros par semestre pour les étudiants des pays européens. Une part de ces droits d’inscription servira à financer l’organisation du séminaire intensif de début d’année à l’Université de Luxembourg.
Universitaires
Pour l’année universitaire 2007-2008, le Master Mundus « Philosophies allemande et française dans l’espace européen » offre 3 bourses de 13 000 euros (12 000 euros pour 3 mois ainsi que 1 000 euros de frais de transport) pour trois universitaires citoyens de pays hors Union européenne. Les candidats retenus enseigneront trois mois dans l’une des universités du Consortium.
Les candidatures seront adressées par courriel et par voie postale avant le 10 février 2007 au coordinateur du programme, Jean-Christophe Goddard, ainsi qu’à Marie-Cécile Clare, responsable administrative du programme à l’Université de Toulouse-Le Mirail.
Le consortium universitaire est composé des universités de Bochum, Munich et Wuppertal (Allemagne), de Louvain-la-Neuve (Communauté française de Belgique), de Luxembourg (Luxembourg), de Prague (Tchéquie) et de l’Université de Toulouse–Le Mirail (Toulouse II, France).
Erasmus Mundus Europhilosophie
lu sur: www.auf.orgtechnorati tags: philosophie erasmus mundus europe
Appel à projet : Printemps de la création étudiante
08 décembre 2006
Animafac, réseau national d'associations étudiantes, souhaite contribuer à mettre en lumière vos projets artistiques et lance la première édition des Prémonitoires, Printemps de la création étudiante.
Objectif : une campagne de labellisation et de communication autour des créations étudiantes
Les Prémonitoires, ça concerne...
- tous les étudiants
- tous les domaines artistiques : arts plastiques, spectacle vivant, musiques actuelles, poésie urbaine, création numérique, vidéo & cinéma, architecture contemporaine, littérature, bande-dessinée,
- toute la France
- ...et c'est au Printemps !
La campagne
En s’appuyant sur plusieurs supports de communication et avec le soutien des réseaux des mondes culturel et étudiant, le programme des “PRÉMONITOIRES” vise à montrer au grand public que les créations étudiantes sont nombreuses, originales et talentueuses.
Une médiatisation locale et nationale du label “LES PRÉMONITOIRES” est prévue, 20 projets remarquables seront plus particulièrement mis en valeur : radio, presse, TV... rien ne sera épargné !
- Date limite de dépôt des dossiers : 9 février
- Pré-sélection des projets : fin février
- Jury de sélection des 20 lauréats : début mars
- Déroulement du programme : du 21 mars au 21 juin
Retrouvez le règlement de l'appel à projet ici
Pour vous inscrire, cliquez ici
Concours d'affiche pour les 20 ans d'Erasmus
06 décembre 2006
Un jury se réuniera dans le courant du mois de mars pour sélectioner les trois affiches gagnantes qui seront alors utilisées en 2007 comme supports officiels de communication du programme Erasmus. Les gagnants recevront aussi un passe global Inter rail leur permettant de voyager gratuitement en train dans toute l'Europe pendant un mois.
Enfin les projets proposés seront tous exposés au mois d'octobre 2007 à Bordeaux à l'occasion des journées Enseignement supérieur - Erasmus en France.
Le règlement du concours et les règles d'utilisation des affiches envoyées sont disponibles sur le site officiel de l'agence Socrates-Leonardo.
lu sur: www.etudiants-erasmus.comtechnorati tags: erasmus Concours affiche
Les bourses pour étudier en Espagne
- Les bourses du Ministère des Affaires étrangères espagnol. Informez vous des conditions d’obtention de ces bourses sur : http://www.becasmae.es
- Depuis peu, le Ministère espagnol de l’Education et de la Science a ouvert ses appels d’offres aux européens : http://wwwn.mec.es/mecd/becas/index.html
- Programmes de bourses de l’Union Européenne :
http://www.diplomatie.gouv.fr/education/universitaire/boursiers/domaine/docue.html
- Si vous venez en Espagne dans le cadre des échanges européens Socrates-Erasmus, vous pouvez bénéficier d’une bourse. Informez vous auprès du service des relations internationales de votre institution d’enseignement supérieur en France.
- Si vous effectuez un stage en Espagne dans le cadre de votre formation, vous pouvez demander une bourse de voyage destinée à financer vos frais de transport. Plus d’informations sur : http://www.cnous.fr/_vie_15.htm
- Les bourses du Ministère français de l’Education Nationale :
http://www.cnous.fr/_vie_15.htm
- Les bourses des Conseils régionaux français :
http://www.diplomatie.gouv.fr/education/universitaire/boursiers/Domaine/doccr.html
- Les bourses des Conseils généraux français :
http://www.diplomatie.gouv.fr/education/universitaire/boursiers/Domaine/doccg.html
- Les bourses du Ministère des Affaires Etrangères français :
http://www.diplomatie.gouv.fr/education/universitaire/boursiers/domaine/docmae.html
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