concours d'affiches
28 septembre 2006
Pour la 5ème année consécutive, Animafac lance un grand concours de réalisations graphiques sur le thème de la sécurité routière.
Fort du succès des précédentes éditions et notamment des affiches lauréates "C’était rouge", "Elle déchire ta caisse", "Pressé de mourir ?" ou encore "Samedi soir..." nous faisons une fois de plus le pari de la jeune création pour sensibiliser aux dangers de la route.
Vous avez moins de 28 ans, des idées créatives plein la tête et des messages à faire passer ? Vous pouvez nous envoyer vos affiches jusqu’au 27 octobre :
- en version papier au format 40x60 cm ou à défaut A3 (sachant que l’affiche finale fera 40x60),
- sur CD au format Xpress, Illustrator ou Photoshop (300 dpi).
Un jury sélectionnera les cinq meilleures affiches sur des critères tels que la pertinence et le respect du thème, l’originalité, la lisibilité, l’impact… Les internautes pourront ensuite voter sur le site d’Animafac, parmi la sélection du jury, pour désigner l’affiche lauréate. Son auteur bénéficiera d’une dotation de 1 500 euros et sa réalisation fera l’objet d’une diffusion nationale.
Les affiches sont à envoyer à :
Animafac
Concours d’affiches Sécurité Routière
3, rue récamier
75 341 Paris cedex 07
Pour en savoir plus et consulter le règlement complet : http://www.animafac.net
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Journée européenne des langues, sixième édition
25 septembre 2006
Demain, mardi 26 septembre, 46 pays du conseil de l'Europe célèbreront la sixième édition de la journée européenne des langues. Cette journée a pour but de célébrer la diversité linguistique, le plurilinguisme [et] l'apprentissage des langues tout au long de la vie
'' rappelle le site officiel. Des dizaines de manifestations sont prévues dans toute l'Europe sur le thème de la diversité linguistique.
Pour l'occasion j'ai ajouter dans la section documents un petit guide intitulé Comment apprendre les langues, dont la lecture est conseillée à toute personne désireuse d'apprendre des langues étrangères. Ce document a été publié pour la première fois lors de la première édition de cette journée en 2001.
Pour plus d'informations, n'hésitez pas à consulter le site officiel : http://www.ecml.at/edl/
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témoignages: berlin
22 septembre 2006
continue sur: http://don-ttry.blogspirit.com
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La Hongrie première de sa classe ?
17 septembre 2006
Les études s’internationalisant notamment grâce au programme Erasmus, la Hongrie espère attirer des étudiants étrangers grâce au programme Campus Hungary.
De plus en plus d'étudiants étrangers en Hongrie (photo Union européenne)
Les étudiants français sont en Europe, avec les Allemands, ceux qui profitent le plus du système d’échange universitaire européen ERASMUS. Certaines destinations, anglophones notamment (Angleterre, Irlande…), sont très demandées et le nombre de places proposées par les universités d’accueil est bien souvent inférieur au nombre de candidats.
Les sélections se font alors sur le niveau scolaire global ou sur le niveau de langue et risquent de laisser des étudiants frustrés de ne pouvoir partir là où ils l’avaient rêvé. Du coup de nombreuses universités d’Europe Centrale et de l’Est ont ouvert depuis un petit nombre d’années des formations, anglophones pour la plupart, adaptées à cette demande. Attirés par des frais moindres, des contrées dépaysantes, ces destinations ont réussi le pari d’être plus que des choix par défaut et la Hongrie ne reste pas à la traîne, puisqu’elle serait la sixième destination la plus populaire chez les étudiants européens…
Des partenariats en plein essor
Campus Hungary, initiative sponsorisée par le ministère hongrois de l’Education, a été fondé en 2004 par une quarantaine d’institutions de l’enseignement supérieur hongrois pour élargir leurs relations internationales. Les partenariats avec des écoles françaises, parfois prestigieuses comme la Sorbonne ne sont pas en reste.
Ces partenariats peuvent prendre des formes très différentes (cours du soir, formations d’1 à 6 semestres…) et délivrer au final des reconnaissances inégales (du simple certificat de participation au MBA). Des études débouchant sur un double diplôme franco-hongrois sont aussi envisageables comme la filière francophone de l’Ecole Supérieure de Commerce Extérieur de Budapest, qui au bout de 7 semestres débouche sur un diplôme hongrois de gestionnaire d’entreprise et sur une licence délivrée par l’Université Jules Verne d’Amiens.
En français, allemand, russe...
Les formations proposées sont dispensées en anglais, français, allemand ou russe, recouvrent une large palette allant des classiques "Architecture" ou "Droit" jusqu’aux plus exotiques "Sculpture" ou "Professeur de ballet classique".
Les 13 prix Nobel hongrois accréditent la thèse d’un enseignement supérieur de bon niveau en Hongrie et tout y est mis en œuvre pour rassurer l’étudiant moyen. L’écueil possible est en effet que des écoles ouvrent des formations dites internationales alors qu’elles ne disposent pas du corps professoral adéquat (c’est à dire suffisamment polyglotte !) ou tout simplement souffrent des habituels défauts de jeunesse (qui constituent aussi parfois des aubaines pour les étudiants !).
A.Berthollet (www.lepetitjournal.com – Budapest) Mercredi 30 août 2006
Erasmus: La rentrée c'est chaux!!!
14 septembre 2006
Chaque année vous partez nombreux vers de nouveaux horizons, des terres inconnues où vous aurez tout à construire et où vos proches ne pourront guère vous aider.
Des débuts difficiles aux coups de blues, vous trouverez le réconfort, combiné à la main, dans la voix de vos parents.
Une fois les débuts oubliés, ce sont eux, les étudiants étrangers, de pays différents qui vous écouteront. Ils deviendront rapidement votre famille et combleront le vide des amis français. Puis un climat de fête et de joie sera votre quotidien.
Mais lorsque vous rentrerez en France attendez vous à vivre une période de transition. Une fois à l’aéroport le jour de votre retour, vous prendrez conscience que ça y’est, cette expérience unique à l’étranger est arrivée à sa fin. Vous verrez vos derniers mois défilés sous vos yeux et vous vous direz que tout est allé si vite...
Céline revient sur son retour de Cambridge à la fin de son année Erasmus. « Une fois à l’aéroport, les larmes aux yeux, je me suis dit c’est déjà terminé. J’ai pris conscience que c’était le retour au train-train quotidien. En arrivant en France j’étais perdue je ne savais pas quoi faire. »
Les premiers jours sont déboussolants, vous tournez en rond et cherchez vos repères. Ceci mêlé à la nostalgie des fêtes Erasmus, des bons souvenirs entre copains de semestre. Autant dire que le retour à la réalité est difficile. Chacun vit ce clash à sa façon mais est-ce le cas pour tous ?
Rassurez-vous après quelques jours les occupations du quotidien auront repris le dessus et vos souvenirs ERASMUS seront rangés dans un coin de votre tête.
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Réussir à l'étranger
12 septembre 2006
lu sur: www.etudiants-erasmus.com
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Plus seulement l'Erasmus
11 septembre 2006
Le projet part d’un constat. 70% des demandeurs d’emplois wallons et bruxellois de moins de 25 ans ne possèdent pas le diplôme de fin d’humanité. « Lorsqu’ une expérience professionnelle internationale peut apparaître sur le CV d’un jeune peu qualifié, c’est en général très apprécié de l’employeur », affirme Laurence Hermand, directrice du BIJ. Mais c’est moins les compétences que le jeune va acquérir qui sont importantes, que l’expérience personnelle qu’il va vivre. « Pour l’employeur, c’est un signe d’ouverture du candidat au poste. Et donc c’est un signe de facilité d’insertion professionnelle et sociale », explique Laurence Hermand.
Un seul critère : la motivation
Le programme se veut donc accessible à tous les jeunes sans distinction. A la différence du programme Erasmus, pionnier en la matière et très élitiste, les « Tremplins jeunes » s’adressent aux étudiants, anciens étudiants, chercheurs d’emploi ou jeunes travailleurs. C’est pour cela que la sélection se base quasi uniquement sur la motivation. Par ailleurs le programme revendique une certaine facilité d’emploi. Pas de lourdes et longues procédures administratives à suivre. Une bonne raison de plus de faire le pas.
Selon certaines conditions
« Faire le pas », car tout ne va pas tomber dans les mains du bénéficiaire. Il doit prendre contact lui-même avec l’entreprise ou l’association qu'il veut intégrer à l'étranger et demander si celle-ci est prête à l’accueillir. Le BIJ s’assurera donc également, en plus de la motivation, de la pertinence du projet de l’association ou de l’entreprise. De plus, seront prioritaires les destinations vers les pays voisins et vers les pays linguistiquement différents. Une fois cela fait, il faut envoyer sa candidature au BIJ. Si elle est acceptée, une bourse de 150euros par semaine est allouée. Et cela pour un séjour de 3 semaines à 3 mois. Les frais de voyage sont également pris en charge. A noter aussi que le dépôt des candidatures se fait tous les 1ers du mois, minimum deux mois avant le départ.
Mais la vraie seule ombre au tableau c’est que 50 à 80 bourses seulement seront accordées par an. En tout cas pour cette année. Il se pourrait en effet que le budget s’étende si les expéditions portent leurs fruit
lu sur: www.lalibre.be
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The Exchange Student: Le jeu!
08 septembre 2006
L'aventure d'Emilio débute à Florence, sur la terrasse d'un café. Revenant à peine d'un Erasmus en Suède, son pote Vincenzo se vante d'avoir conquis le coeur d'une bonne quinzaine de Suédoises, photos à l'appui! Emilio, qui crèche toujours chez ses parents très protecteurs (son père a certainement travaillé pour les Corleone, et sa mère est une véritable mamma italienne), se rend compte que l'Erasmus serait une excellente occasion pour mettre tous ses rêves et fantasmes à exécution! Dès l'introduction, on voit que The Exchange Student se place plutôt dans la lignée des Leisure Suit Larry, avec son anti-héros en manque de sexe et d'amour, que d'un King's Quest ou Monkey Island.
Le fait d'avoir choisi de développer ce jeu en flash permet d'éviter un effet de pixélisation lorsque les personnages se déplacent vers le premier plan de l'écran. Si le character design est plutôt réussi, les décors sont très (trop?) typés, ce qui ne pourra pas plaire à tout le monde. Cette différence entre décors et personnages ou objets animés donne parfois une impression de dessin animé réalisé à la va-vite. Il n'est pas rare de voir les pieds d'Emilio dépasser sur les murs ou étagères, un petit détail qui peut gêner les puristes...
continue sur: www.factornews.com
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