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reseaux studiQG

La Belgique fait rêver les étudiants français !

30 janvier 2007

De part sa langue, sa culture analogue, et sa proximité, la Belgique attire de plus en plus d’étudiants français. La qualité de l’enseignement mais surtout son coût sont attractifs. En effet, les enseignements d’excellence sont dispensés par les universités et ce pour un prix largement inférieur aux équivalents français. A Bruxelles, l’accueil, la qualité de vie, et le prix des loyers, sont incomparables par rapport à notre capitale. Les français sont si nombreux dans certaines universités belges que le gouvernement a du prendre des mesures de restriction.
Alexandre Garing

Des pôles d’excellence reconnus
Le système de l’enseignement supérieur belge est similaire au français à quelques différences près : les universités ont un panel de formations bien plus large, car elles intègrent des cursus disponibles en France que dans les grandes écoles. Les formations aux métiers de la santé, sont plus accessibles qu’en France et jouissent d’une bonne réputation, des universités telles que celles de Liège ou Bruxelles sont des pôles d’excellence dans ce domaine.

Les étudiants qui se tournent vers les métiers de la construction européenne, trouvent à l’ULB (Bruxelles) des formations pluridisciplinaires et uniques. Les hautes écoles proposent des cursus en commerce, management, marketing ou communication semblables aux écoles françaises, mais bien moins cher. Enfin les domaines des sciences et de la recherche, jouissent dans certaines disciplines d’une réputation mondiale.

Un cadre de vie et un accueil incomparable



Ces deux facteurs sont déterminants dans le bon déroulement des années d’études à l’étranger. Un accueil chaleureux et un cadre de vie paisible font de la Belgique un pays idéal pour aborder ses études sereinement. Le marché de l’immobilier est bien moins saturé qu’en France, il est plus facile de trouver une chambre d’étudiant ( les belges appellent cela une “Kot” ), et par conséquent les prix sont bien moins élevés à Bruxelles qu’à Paris. La majorité des universités et hautes écoles disposent de logements universitaires intégrés au campus.

Des études bien moins coûteuses
Le prix de l’immobilier est nettement inférieur à celui de notre capitale, il faut compter environ 400 € pour une « kot » de 20 m2 à Bruxelles, contre parfois plus de 600 € à Paris . Les universités et les hautes écoles belges proposent des formations équivalentes aux grandes écoles françaises, pour un prix d’environ 700 euros, un facteur non négligeable lorsque l’on sait que dans l’hexagone le coût d’une année d’étude peut atteindre 5000 €. Grâce au programme d’échange Socrates/Erasmus, une bourse peut être obtenue sur candidature.

Un succès qui porte préjudice à la Belgique
Un flux migratoire qui pose problème au gouvernement belge, soucieux de ne pas pénaliser ses élèves en accueillant des ressortissants étrangers. Le ministère de l’éducation supérieur dépenserait environ 15 millions d’euros pour former des français, qui pour la plupart exercent en France une fois le diplôme obtenu, à terme, la Belgique pourrait rencontrer une pénurie de professionnels dans les métiers de la santé.

Le parlement de la communauté française à donc adopté le 13 Juin 2006 un décret qui limiterait la part d’étrangers non-résidants dans les universités à 30%, mais uniquement pour les filières les plus prisées (vétérinaire, kinésithérapeute, podologie, ergothérapie, accoucheuse, éducateur spécialisé, audiologie). De plus le système du tirage au sort sera utilisé pour sélectionner les 30% d’élèves étrangers. Ainsi, plus de 1500 étudiants ne pourront pas s’inscrire chaque année.
Un décret, déjà critiqué, car il est contraire à la libre circulation des étudiants européens, la Belgique dispose tout de même de solides arguments si elle était amenée à en répondre devant la cour de justice européenne.

lu sur: www.studyrama.com

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posted by urbanohumano, 09:19
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Devenez photoreporter

28 janvier 2007

Le Grand Prix Paris Match du Photoreportage Etudiant propose aux étudiants de réaliser, avant le 31 mars 2007, un photoreportage constitué de dix photos légendées, prises en France ou à l’étranger.
Focus sur ce concours révélateur de talents.

Affiche de l'édition 2007 Récompenser les talents des étudiants

Portrait d’un fan de foot anglais, clichés d’un hôpital désaffecté de Versailles squatté par des SDF, rencontre avec des gauchos de Patagonie… Voici quelques exemples des photoreportages réalisés par les participants des trois dernières éditions du Grand Prix Paris Match du Photoreportage Etudiant.

Paris Match a lancé pour la première fois le Grand Prix en juin 2003, avec la volonté de mettre en lumière des talents nouveaux mais aussi de donner une place à de jeunes photographes dans ses pages. En effet, le lauréat du Grand Prix voit son photoreportage publié dans le magazine.

Au fil des années, le Prix prend de l’ampleur et commence à être reconnu dans le milieu du journalisme et de la photo. Lors de la première édition, 400 étudiants s’étaient inscrits. Pour l’édition 2005, ils étaient 5 000.

Photo d'Alice Durand, sélectionnée 2005, sur les Gauchos de Patagonie L’édition 2007 récompensera trois photoreportages. Le lauréat du Grand Prix, désigné par un jury composé de membres de la rédaction de Paris Match, recevra la somme de 5 000 €. Son université ou école sera créditée de la même somme, dans le but de soutenir un projet pédagogique. Le meilleur photoreportage ayant pour thème la nature ou l’environnement sera récompensé par le Prix Aroma Thera et la somme de 2 000 €. Enfin, le Prix du Public, d’une valeur de 1 000 €, sera remis au photoreporter qui aura reçu le plus de votes des internautes.

Vous pourrez voter pour votre photoreportage préféré, parmi les 30 sélectionnés, du 1er au 15 mai 2007 sur www.parismatch.com/photoreportage.

Photo de Julien Chraïbi, Grand Prix 2005, sur des chercheurs d'or du Burkina Faso Raconter une aventure humaine

Le principe du concours est de "raconter une aventure humaine", à travers dix photos légendées. Elles doivent "raconter un fait d’actualité, qui place l’humain au cœur du photoreportage", explique Florence Vatoux, membre de l’équipe organisatrice du Grand Prix.

Le lieu où se situe la tranche de vie racontée peut être au bout du monde comme "au coin de la rue". L’Inde et ses paysages exotiques sont le sujet de beaucoup de photoreportages envoyés, mais rien ne vous empêche de réaliser un portrait en images de votre oncle agriculteur ou du chantier de travaux à côté de chez vous.

Qui sont les participants ?

Le concours est ouvert à tous les étudiants. Cependant, les organisateurs ont remarqué un plus fort taux de participation chez les garçons. La photo serait-elle un art masculin ?
Les étudiants en écoles d’ingénieur et de commerce sont aussi plus représentés.

Les gagnants des dernières éditions se sont révélés être tous les trois étudiants en géographie à l’université. "Ils ont un regard particulier sur le monde et les paysages", commente Florence Vatoux.

Photo de Guillaume Mazille, Mention spéciale 2004, sur les baleines Certains lauréats ont par la suite fait de la photo en tant que professionnels. Ainsi, Marc Wattrelot, Grand Prix 2003, et Philip Poupin, Grand Prix 2004, ont chacun réalisé des reportages pour Paris Match. Quant à Guillaume Mazille, Mention spéciale 2004 pour un reportage dans lequel il relatait sa rencontre avec une baleine et son baleineau, il a publié en 2005 un magnifique livre de photos, Baleines, aux premiers jours.

Les 90 reportages sélectionnés en 2003, 2004 et 2005, ainsi que les modalités de participation sont consultables sur www.parismatch.com/photoreportage. Vous y découvrirez des histoires passionnantes et des photos de qualité. A vous d’envoyer les vôtres…

lu sur: www.etudiantdeparis.fr

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posted by urbanohumano, 19:35
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L’aide européenne, c’est quoi ?

«Quand on dit Union européenne, à quoi pensez vous ?» Ce genre de sondages, l’Europe y recourt de plus en plus, auprès de ses jeunes, pour tenter de combler ses lacunes en matière de communication. Des jeunes souvent mieux informés sur la construction européenne qu’il n’y paraît à première vue. En revanche, lorsqu’on leur demande si la riche Europe aide l’Afrique et les autres régions du monde en développement, la question laisse généralement perplexe. «Elle devrait le faire», répondent les jeunes, qui savent tout au plus que l’Europe a secouru les victimes du tsunami et qu’elle intervient lors de catastrophes naturelles.

Mais à leurs yeux, un panel l’a encore confirmé cette semaine, les fournisseurs de l’aide à l’Afrique sont avant tout les ONG, comme Oxfam ou Médecins du Monde, que l’on voit sur le terrain, à la télévision. C’est aussi leur école, quand elle organise des voyages pour les faire participer à des projets de micro-barrages au Burkina Faso, par exemple. Que le grand bailleur de fonds de ces programmes soit l’Union européenne et qu’elle soit le premier donateur mondial d’aide au développement, sont des données souvent ignorées. Bref, l’Europe a encore du pain sur la planche pour se rendre plus visible.

Il est, malgré tout, un domaine de coopération bien connu et apprécié des jeunes : celui des voyages et des échanges éducatifs. C’est notamment le cas d’«Erasmus Mundus», un programme de bourses d’études qui permet à des étudiants et universitaires de tous les coins de la planète, y compris d’Afrique, de venir étudier ou enseigner dans des universités européennes. Ce programme de haut niveau connaît un succès croissant depuis son lancement en 2004. Pour l’année universitaire en cours, près de 2 000 jeunes ont été sélectionnés. Les cours portent sur une cinquantaine de disciplines qui ne cessent de s’enrichir : un appel à candidatures a été récemment lancé pour des formations en gestion des forêts tropicales. C’est aussi une façon d’améliorer l’image de marque de l’Union européenne.

lu sur: www.rfi.fr

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Erasmus a 20 ans!!

24 janvier 2007

Nom : Erasmus - Date de Naissance : 1987 - Lieu de Naissance : Bruxelles. Les institutions européennes n’en sont pas peu fière de leur bébé, qui célèbre ses 20 ans en 2007.
Un Erasmus qui a fait des petits (Blond avenger/flickr)
« Erasmus est le symbole de ce que l’Europe fait de mieux. Une Europe du concret, une Europe des résultats ». Des termes élogieux avec lesquels José Manuel Barroso a qualifié le programme d'études européen qui fête en 2007 ses 20 ans d’existence. En 1987, seulement 3 000 pionniers s’étaient lancés dans l’aventure d'aller étudier un semestre ou deux à l'étranger. Aujourd’hui, chaque année, environ 150 000 jeunes choisissent de partir dans une autre université. Soit au final en 20 ans, un million et demi d'étudiants voyageurs qui auront sillonné les bancs des facs européennes.

Une idée de jeunes

Au milieu des années 80, l’Europe se construit sur l’industrie, le commerce, le libre échange, mais ne réussit pas à rapprocher les citoyens et le sentiment européen stagne. Survient cette question, cruciale : comment le faire naître chez les jeunes, eux qui sont le futur de l’Europe mais aussi le présent ? La réponse est simple : quoi de mieux que l’éducation.

C'est l’Association des états généraux des étudiants de l’Europe (AEGEE), dirigée par Franck Biancheri, 27 ans à l'époque, qui, le premier, propose le projet Erasmus. Le président français François Mitterrand est convaincu et soutient l'idée devant les institutions européennes. Quelques mois plus tard, un premier programme d'échanges interuniversitaires voit le jour sous le nom 'Erasmus'.

Durant ces deux décennies, ce sont les Français qui ont le plus participé au programme avec un peu plus de 217 000 étudiants, suivi de très près par les Allemands (216 000) et les Espagnols (191 000). La destination favorite des candidats au départ reste l’Espagne qui accueille près de 25 000 Erasmus en moyenne tous les ans.

Le climat tout comme la vie nocturne de la péninsule ibérique, popularisée par le film de Cédric Klapisch, l’Auberge Espagnole, ne sont probablement pas étrangers à cet engouement général. Les aventures de ce groupe d'étudiants étrangers dans la ville de Barcelone, a même hissé le séjour Erasmus au rang de symbole de la vie étudiante insouciante et cosmopolite.

D'autres destinations ont elles moins la cote comme le Royaume-Uni, les Pays Bas ou l’Irlande.

Un plus indéniable

En 2004, Erasmus est devenu encore plus international avec son petit frère, 'Erasmus Mundus'. Le principe : faire partir des étudiants européens très qualifiés dans un pays tiers et en faire venir autant.

Une centaine de masters européens ont déjà reçu le label 'Erasmus Mundus'. L’ambition de telles initiatives est clair : faire de l’Union européenne un centre d’études reconnu dans le monde entier pour son excellence, conformèment aux directives de la stratégie de Lisbonne et 'son économie de la connaissance la plus compétitive et la plus dynamique du monde d’ici 2010.'

Autre avantage, Erasmus a favorisé l’homogénéisation des cursus universitaire européens avec le système Licence – Master – Doctorat et les fameux crédits européens ECTS, reconnus partout. En théorie, plus besoin de se battre avec son administration pour faire reconnaître les points obtenus lors de son séjour à l'étranger. Néanmoins, l'Erasmus Student Network (EST) a fait remarquer qu'en 2006, seul la moitié des étudiants Erasmus avaient pu bénéficier de la reconnaissance du diplôme obtenu dans une fac étrangère dans leur université d'origine. Une coordination qui reste donc pour l'instant approximative.

Plus globalement, l’expérience acquise lors de cette expatriation est généralement considérée comme un atout pour la vie professionnelle à venir. Selon une étude menée par l’Union européenne, 60% des anciens étudiants Erasmus estiment que leur séjour a été un atout lors de leur première embauche, compétences linguistiques et certaine ouverture d’esprit obligent. Certains cursus, comme Science Po ou les grandes écoles d'ingénieurs ont même rendu le séjour à l’étranger obligatoire.

Modestie oblige

Le succès, même réel de ce programme doit néanmoins être relativisé. Seulement 1% de la population étudiante part en Erasmus, ce qui reste très faible. Pour la période 2000-2006, 930 millions d’euros ont été consacrés au programme, avec une bourse s'élevant en moyenne à 150 euros par mois pour chaque étudiant. Or, ce montant n’a pas augmenté depuis 1993, ignorant l’augmentation du coût de la vie et celui des logements.

Autre bémol, cette indemnité ne prend pas en compte non plus le niveau de vie du pays dans lequel l’étudiant se rend. Pourtant entre Bucarest et Oslo, l’écart est de taille… Jan Figel, commissaire européen chargé de l’Education, déclarait ainsi en décembre dernier que « que les bourses Erasmus sont trop faibles pour permettre aux étudiants issus de milieux financièrement défavorisés de profiter du programme. »

Les institutions européennes ont donc décidé d’être ambitieuses, projetant entre 2007 et 2012 de faire partir un million et demi d’étudiants, soit autant qu’en vingt ans. Pour cela, 3,1 milliards d’euros ont été débloqués. Reste que l’éducation n’est pas encore la priorité de l’Union européenne, 40% de ses ressources -son premier budget- étant toujours consacré à l’agriculture et à la PAC.

lu sur: www.cafebabel.com

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Marathon Démocratique Newropeans 2007 et Blog Erasmus 20

23 janvier 2007

Newropeans a entamé cette semaine en Autriche et Slovaquie le Marathon Démocratique Newropeans 2007.

Les Newropeans vont faire 500 conférences en 10 mois dans toute l’Europe afin de rencontrer les européens, et une attention toute particulière sera donnée aux étudiants. 250 conférences se feront ainsi exclusivement auprès des étudiants dans leurs universités, c’est la façon de Newropeans de célèbrer les 20 ans d’Erasmus, mais aussi de réfléchir avec les premiers concernés, les étudiants, à son successeur, d’où la devise de cette l’opération ‘Erasmus 20′: ” Newropeans a 20 ans: Donnons lui un enfant!”.

Un blog trans-européen dédié à l’opération ‘Erasmus 20′ et destiné à informer la communauté étudiante, et chacun sur cette opération, les conférences à venir et les nouvelles européennes sur Erasmus est d’ores et déjà disponible en 7 langues ici: http://blogs.newropeans.eu/erasmus20/erasmus-is-20/

N’hésitez-pas à le consulter régulièrement:

David Carayol, Coordinateur Erasmus 20

lu sur: http://blogs.newropeans.eu

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Conférence Erasmus Student Network à Bruxelles

18 janvier 2007

logo de la conférencePour fêter les 20 ans du programme Erasmus, Erasmus Student Network organise une conférence le 18 janvier à Bruxelles en Belgique. Quelques anciens étudiants Erasmus viendront raconter comment ils ont vécu leur expérience à l'étranger. On discutera du programme Erasmus mais aussi de son avenir. Enfin la journée se terminera par une fête d'anniversaire dans la plus grande tradition Erasmus :-)

Share your experience

Share your experience est un autre initiative lancé par l'ESN pour les 20 ans d'Erasmus. Elle vise à regrouper des témoignages d'anciens étudiants ; si vous êtes un des 1,5 millions d'étudiants à avoir profiter du programme vous pouvez laisser témoignage et photos sur http://www.20erasmus.eu/experiences/browse. La réalisation est amusante : on indique son point de départ, sa destination, une carte est alors générée automatiquement (merci Google Maps), ensuite on saisit une phrase qui résume son séjour puis on tape un témoignage (en anglais) et enfin il est possible de charger des photos. Bien sûr les autres témoignages peuvent aussi être consultés, et enfin si vous participez il y a des cadeaux à gagner !

lu sur: www.etudiants-erasmus.com

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Trois langues de plus dans L'Union Européenne

15 janvier 2007

Avec l'arrivée du bulgare et du roumain, les langues officielles de l'Union Européenne sont désormais au nombre de 23. En outre le gaélique (ou irlandais) est devenue au 1er janvier une langue officielle de travail. C'est pour moi l'occasion d'inaugurer une nouvelle catégorie sur Etudiants-Erasmus.com : Multilinguisme. Sous cette catégorie qui me trottait dans la tête depuis plusieurs mois je regrouperai les différents billets qui parlent des langues étrangère et de leur apprentissage.

Je profite aussi de cette nouvelle pour faire un point sur la politique de l'Union Européenne dans le domaine linguistique. Aujourd'hui cette politique est claire, le multilinguisme et mis en avant. Si il est utopique de vouloir faire parler les 23 langues de l'Union aux 300 millions d'Européens, l'Union mène une politique visant à favoriser le bilinguisme et le trilinguisme chez européenns. Après la création du cadre européen commun de référence pour les langues en 2001, politique linguistique de l'Europe s'est intensifié. Depuis l'arrivé de la commission Barroso un portail européen des langues a été ouvert en 2005 et le 1er janvier 2007 Leonard Orban a été nommé commissaire européen chargé uniquement du multilinguisme[1].

Cependant cette politique est parfois critiquée du fait qu'elle tend vers une prédominance d'une langue utile, l'anglais, vis-à-vis de toutes les autres langues. Cela favoriserait donc naturellement les locuteurs natifs. Cependant cela pose aussi quelques problèmes : en regardant les statistiques britanniques conernant les langues : seul 1 anglais sur 3 est capable de s'exprimer dans une autre langue. Plus inquiétant, une autre étude a montré que les étudiants étrangers dans les étaient parfois meilleurs en anglais que leurs condisciples britanniques. Certains porpose comme solution l'utilisation d'une langue neutre construite comme l'Esperanto mais cette proposition, si elle loin d'être inintéressante, reste encore marginale.

Ces dernières années bon nombre de pays européens ont renforcé l'apprentissage des langues étrangères. Des webzines comme Café Babel ou Le Taurillon publient dans plusieurs langues. Et apprendre les langues étrangères reste toujours le meilleur moyen de connaître les autres européens, leurs pays et leurs cultures.

Pour aller plus loin : Du bon usage du multilinguisme dans Le Taurillon.

lu sur: www.etudiants-erasmus.com

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Socrates devient "l’Agence Europe Éducation Formation France"

14 janvier 2007

Le GIP (groupement d’intérêt public) "Agence Socrates - Leonardo da Vinci" vient d’être prorogé pour une durée de 7 ans (2007-2013) avec la nouvelle dénomination "Agence Europe Éducation Formation France".

L’objectif de l’Agence est notamment de "promouvoir et mettre en œuvre des programmes et dispositifs communautaires relatifs à l’éducation et à la formation professionnelle initiale et continue sur l’ensemble du territoire national" et notamment le programme d’action communautaire dans le domaine de l’éducation et de la formation tout au long de la vie sur la période 2007-2013 ainsi que les programmes "Erasmus Mundus" et "Tempus" et les dispositifs "Europass" et "Euroguidance".

L’Agence Europe Éducation Formation France est également chargée de veiller à "l’articulation" et à la "cohérence" de la mise en œuvre des programmes communautaires avec les politiques nationales de l’éducation, de la formation et de l’emploi.

lu sur: www.studyrama.com

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Salon des formations internationales

12 janvier 2007

Le salon des formations internationales se tiendra à Paris, Parc des expositions de la Porte de Versailles les samedi 13 et dimanche 14 prochains. Des dizaines d'exposant venu de nombreux pays seront présents, c'est le meilleurs endroit pour vous informer sur les multiples formules pour étudier à l'étranger, sur les nombreux programmes d'échanges, sur les possibilités de faire un stage à l'étranger ou de partir en séjour linguistique... Des conférences (planning ci-dessous) seront également données pendant toute la durée du salon.

L'entrée coûte 5 euros mais des invitations gratuites envoyées par e-mail sont disponibles sur le site de l'Étudiant.

le site :
http://www.letudiant.fr/salons/tous-nos-salons/salon-des-formations-internationales.html

Conférences

Samedi 13 janvier :

  • 10h30
    • Salle 1 : Que faire après des études de langues ?
    • Salle 2 : Etudier au Québec.
  • 12h00
    • Salle 1 : Opter pour une spécialisation à l'étranger (3e cycle, MBA, etc).
    • Salle 2 : Etudier au Etats-unis.
  • 14h30
    • Salle 1 : Les formations universitaires qui forment à l'international.
    • Salle 2 : Etudier en Italie.
  • 16h00
    • Salle 1 : Se perfectionner en langues : un plus sur le CV.
    • Salle 2 : Étudier dans un cégep au Québec pour l’obtention d’un diplôme BAC + 2 (Conférence organisée et animée par le SRACQ)

Dimanche 14 janvier :

  • 10h30
    • Salle 1 : Les écoles qui forment à l'international.
    • Salle 2 : Etudier en Espagne.
  • 12h00
    • Salle 1 : Comment partir étudier à l’étranger ?
    • Salle 2 : Etudier en Grande-Bretagne. (conférence organisée en partenariat avec le British Council)
  • 14h30
    • Salle 1 : Programmes Erasmus et Leonardo : ce qu'il faut savoir.
    • Salle 2 : Etudier en Australie.
  • 16h00
    • Salle 1 : Les atouts des stages à l’étranger.
    • Salle 2 : Choisir son séjour linguistique.
lu sur: www.etudiants-erasmus.com

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YOOROPI: premier projet web2.0 dédié aux Erasmus

06 janvier 2007

Planeterasmus commence cette année avec une belle nouveauté.
Part le nouveau projet YOOROPI: le premier social content website dédié au monde Erasmus.
Avec yooropi nous voulons donner à tous nos visiteurs la possibilité de nous raconter tout ce qu'il veulent.
Visitez www.yooropi.com y signalez les nouvelles les plus intéressantes reliés aux Erasmus. Signalez les sites web des associations ou des fêtes. Signalez vos blog ou écrit tus anecdotes les plus amusants (sûrement y en a beaucoup).
Choisissez vous mêmes les nouvelles ou les histoire les plus importantes, les sites web les plus intéressantes. Tous les visiteurs peuvent voter les contenus que plus aiment. C'est pour ça que ce site web se on l'appelle comme social content website, parce que c'est vous mêmes à le rédiger.
Bienvenus dans le premier projet web2.0 dédié aux Erasmus.
Visitez www.yooropi.com et commencez de maintenaient à participer à ce grand projet.

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Concours d'affiches Erasmus

L'agence Socrates-Leonardo da Vinci France lance un concours d'affiches Erasmus ouvert à tous les étudiants inscrits dans un établissement français d’enseignement supérieur.

Les affiches lauréates seront les supports de communication officielle du programme Erasmus pendant une année.

Règlement du concours : www.socrates-leonardo.fr
Date limite : 28 février 2007

lu sur: www.touteleurope.fr

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2010 : l’ère des lifelogs

05 janvier 2007

L’Institut de recherche Nomura (NRI), un des grands cabinet de conseil spécialisé dans les nouvelles technologies, a publié récemment une “feuille de route” du développement des technologies web 2.0 d’ici 2011.

La feuille de route des technologies du Nomura institute

Alors que les téléphones mobiles peuvent déjà être utilisés pour lire et écrire des blogs, leurs utilisateurs doivent encore endurer des temps de communications assez lents, qui sont un frein à leur utilisation grand public, précise le cabinet. Pour ces raisons, le développement des services web 2.0 en environnement mobile atteint aujourd’hui ses limites. Il faudrait attendre 2008 et le déploiement des réseaux mobiles 3,5 G, que l’institut qualifie de réseaux mobiles haut débit, pour que les services web 2.0 soient couramment utilisés en environnement mobile sous le nom de “web 2.0 mobile”. En 2010, avec l’arrivée des réseaux ubiquitaires, une nouvelle ère de publication devrait commencer, grâce à la possibilité de publier des informations en provenance des capteurs et des applications domestiques, notamment : l’ère des “lifelogs”, des outils et capteurs connectés au réseau, qui enregistreront les activités détaillées de chacun, permettant d’offrir des services personnalisés.

Lors du colloqueMemories for life“, qui s’est tenu à la British Library mi-décembre, il a également été question de ces lifelogs. “D’ici 20 ans, il sera possible d’enregistrer en haute qualité la vidéo d’une vie entière. Ce n’est plus une question de savoir si cela va arriver, c’est en train d’arriver”, affirmait le professeur Nigel Shadbolt, spécialiste d’intelligence artificielle à l’université de Southampton. La mémoire y a été également évoquée via le projet “Compagnons”, développé par le professeur Yorick Wilks, un assistant qui nous aiderait à l’avenir à organiser les traces des événements de notre vie, pour nous les restituer de manière sensible et utile par la suite, en particulier lorsque nous aurons vieilli.

La notion de Mémoire pour la vie est d’ailleurs l’un des “Grands défis” identifiés dès 2005 par le Comité de recherche en informatique du Royaume-Uni.

En tout cas, comme le souligne le Daily Telegraph : “La société devrait débattre des implications d’une telle croissance de la puissance informatique et de la masse d’information collectée par les individus. Certains craignent l’arrivée de boîte noires humaines, qui, combinées avec le développement des enregistrements électroniques médicaux ou financiers, pourraient nous conduire à un abandon de toute intimité et au développement sans limite d’un Etat nounou. D’autres soulignent plutôt les avancées positives dans le domaine de la médecine, de l’éducation, de la prévention criminelle et de la connaissance historique.”

lu sur: www.internetactu.net

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Bulgarie-Roumanie : un pont entre deux rives

03 janvier 2007

Repoussée durant des années, la construction du ‘Pont du Danube 2’ entre la Bulgarie et la Roumanie devrait désormais voir le jour en 2007. Grâce à l’aide de l’UE.
Borislav Aljoshev, vendeur ambulant(Photo: Jutta Sommerbauer) Borislav Aljoshev, vendeur ambulant(Photo: Jutta Sommerbauer)
Le ferry lève enfin l’ancre. Il est 7h30 du matin. Aujourd’hui, Borislav Aljoshev a dû attendre le départ deux heures dans le froid. Dans la brume matinale, le bateau glisse sur le Danube, chargé de quelques camions et d’une douzaine de personnes. Outre le bruit du moteur, on n’entend que les gazouillements des oiseaux. De chaque côté, la rive du fleuve est déserte.

La traversée depuis la ville de Vidin, en Bulgarie, jusqu’à sa voisine roumaine Calafat dure environ 20 minutes. Cependant, on ne sait jamais vraiment l’heure à laquelle on arrivera. Le trajet ne commence que lorsque suffisamment de poids lourds sont chargés sur le bateau.

Cinq euros par jour

« Je suis obligé de faire cela », lâche Borislav Aljoshev, « je ne peux pas vivre de rien ». Le quadragénaire est son propre patron. Comme beaucoup d’autres, il gagne son argent comme porteur de bagages. Autrefois, Aljoshev travaillait à Vidin dans des usines gérées par l’Etat, mais la plupart ont fermé après la chute du Mur de Berlin en 1989.

En Roumanie, sur le marché, il vend des sucreries et de la lessive, et de l’autre côté, il importe des textiles roumain en Bulgarie. « Tout dépend de ce qui est bon marché et recherché, » explique-t-il. Quand les affaires marchent bien, il peut gagner environ cinq euros par jour. « S’il y avait du travail en Bulgarie, je resterais », assure-t-il.


Symbole de l’Europe unie

Des emplois et une frontière plus facile à franchir, voilà ce qu’est censé apporter à Vidin et Calafat le ‘Pont du Danube 2’, un projet de 234 millions d’euros. Plus de la moitié de l’argent est versé par l’UE –dans le cadre de son programme ISPA- et par la Banque d’investissments européenne. En fait, le pont aurait déjà dû déjà être prêt pour l’entrée des deux pays voisins dans l’UE le 1er janvier 2007, comme joli symbole de l’Europe unie. Mais il n’en est rien.

Divergences quant au lieu, bureaucratie et difficultés de financement ont ainsi retardé de trois ans le début des travaux. Aujourd’hui, la procédure de sélection du promoteur des travaux est en cours. D’ici la fin de l’année, l’un des quatre prestataires actuellement en lice doit être choisi et le contrat conclu.

Si le chantier débute comme prévu à la mi-2007, les premiers véhicules et trains pourraient commencer à rouler au plus tôt en 2010. La construction de ce pont améliorera le couloir européen de transports IV qui relie Berlin à Thessalonique et Istanbul, à travers plusieurs pays européens.

Sur place, on attend beaucoup de ce pont, notamment un certain essor économique. « Les infrastructures qui vont se multiplier autour du pont vont permettre le développement local », assure Petre Traistaru, maire de Calafat.

Pour Ivan Zenov, représentant de la communauté de Vidin, le pont est le « meilleur moyen pour résoudre les problèmes sociaux et économiques de la région ». Selon lui, au cours de ces dernières années, on pouvait déjà remarquer un intérêt croissant des investisseurs. « Ils attendent le début des travaux pour pouvoir planifier leurs investissements », affirme t-il.

lu sur: http://cafebabel.com

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posted by urbanohumano, 09:56
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